Топик: Написание писем
Voyez ces plats, en avez-vous goûté ? Des cerises, combien en avez-vous pris ?
Avec un mot collectif ou partiel
L'accord est commandé par ce qui domine dans la phrase : le sujet ou la quantité.
La moitié du travail qu 'il a terminé(e).
La partie du mobilier que vous avez réparé(e).
Le peu de confiance que vous m'avez lémoigné(e).
C'est donc à vous de choisir ce que vous désirez faire ressortir.
Les participes passés des verbes pronominaux
• II y a accord avec l'objet direct s'il est placé avant :
Jean et Jacques se sont battus (ils ont battu se, c'est-à-dire eux-mêmes). Les efforts qu'il s'est imposés (il a imposé à lui que, c'est-à-dire les efforts). Elle s'est coupée, elle s'est sentie mal. Ils se sont imaginés libres.
• II n'y a pas accord si l'objet direct est placé après :
Elle s'est coupé les ongles.
Ils se sont imaginé qu 'on leur en voulait.
Elle s'est senti attraper par le bras.
• Avec l'infinitif, les deux formes sont bonnes :
Elle s'est laissé(e) mourir.
• Sans c.o.d., pas d'accord :
Nous nous sommes écrit, parlé (à qui ? à nous : c.o. indirect). Mais on écrira :
Nous nous sommes vus (qui ? nous : c.o.d.).
• Avec des verbes pronominaux à sens non réciproque, il y toujours accord avec le sujet :
s'apercevoir de | se douter de | se porter vers |
s'attaquer à | s'échapper de | s'en prendre à |
s'attendre à | s'ennuyer de | se prévaloir de |
s'aviser de | s'imaginer | se refuser à |
se battre comme, en | se jouer de | se résoudre à |
se connaître à, en | se moquer de | se saisir de |
se défier de | se plaindre de | se servir de |
se taire |
Elles se sont défiées de lui. Ils se sont prévalus de leur grade.
* Avec des verbes pronominaux de sens passif, il y a toujours accord avec le sujet :
Ces toiles se sont bien vendues.
Les participes passés des verbes impersonnels
Le participe passé de ces verbes est toujours invariable :
Quelle témérité il lui a fallu ! Les tempêtes qu'il y a eu. Les chaleurs qu 'il a fait.
d). LA CONCORDANCE DES TEMPS . Dans beaucoup de cas, elle n'est plus aujourd'hui respectée car l'imparfait du subjonctif, avec ses terminaisons en asse et assiez, isse et issiez, est tombé dans un juste oubli. En revanche, la 3e personne du singulier est encore en usage, surtout si l'on s'adresse à des puristes :
Je souhaite qu'il vienne. Je souhaitais (ou souhaiterais) qu 'il vînt.
Mais on ne vous tiendra pas rigueur d'écrire qu'il vienne dans les deux cas.
Inversement, il peut arriver que vous mettiez un verbe au subjonctif alors qu'il doit s'écrire à l'indicatif :
C'est à ce moment qu'il vint (ou qu'il vînt ?) Un bon moyen d'éviter la faute : imaginez la phrase à un autre temps :