МХК

Переведите пожалуйста текст! Lucile, la quatrième de mes soeurs, avait deux ans de plus que moi. Cadette délaissée, sa parure ne se composait que de la dépouille de ses soeurs. Qu'on se figure une petite fille maigre, trop grande pour son âge, air timide, parlant avec dificulté et ne pouvant rien appredre; qu'on lui mette une robe empruntée à une autre taille que la sienne, soutenez son cou par un collier de fer garni de velours brun, retrouddez ses cheveux sur le haut de sa tête, rattachez-les avec une toque d'étoffe noire; et vous verrez la misérable créature... Personne n'aurait soupçonné dans la chétive Lucile, les talents et la beauté qui devaient une jour briller en elle. Elle me fut livrée comme un jouet; je n'abusais point de mon pouvoir, je devins son défenseur. On me conduisait tous les matins avec elle chez les soeurs Couppart, deux vieilles bossues habillées de noir, qui montraient à lire aux enfants. Lucile lisait fort mal, je lisais encore plus mal. On la grondait: je griffais les soeurs: grandes plaintes portées à ma mére. Je commençais à passer pour un vaurien, un révolté, un paresseux, un âne enfin. Ma mére soupirait et grognait en voyant le désorde de ma jaquette. Mon maître d'écriture, M. Després, à perruque de matelot, n'était plus content de moi, que mes parents; il me faisait copier éternellement, d'après un exemple de sa façon, les duex vers que j'ai pris en horreur... Il accompagnait ses réprimandes de coup de poing qu'il me donnait dans le cou, en m'appelant tête dure. D'après F.R. Chateaubriand, "Mémoires d'outre-tombe"
Помогите перевести, только нормально❤️❤️❤️ 14 heures 20. Pendant le trajet, tout en bavardant avec nos copains parisiens, nous regardons par la vitre. D’abord, il n’y a rien de vraiment impressionnant. Des deux côtés de l’autoroute, les hôtels, les motels, les bâtiments industriels.. Beaucoup de panneaux publicitaires aussi. Puis, le paysage commence à changer. Nous nous approchons de Paris, nous apercevons au loin les hautes tours de la Défense, le célèbre quartier d’affaires dans la banlieue nord-ouest. Et tout de suite, les conversations cessent, nous nous collons aux vitres. 15 heures 20. Enfin, le car s’arrête, nous sommes arrivés. Tout le monde descend, l’hôtel est juste devant nous. Il a l’air très agréable, mais il est situé dans une rue assez bruyante. 15 heures 30. Entrés à l’hôtel, nous nous retrouvons devant la réception. Une dame très gentille, souriante, nous accueille et nous propose de remplir les fiches de voyageur c’est une formalité obligatoire. On y inscrit son nom, son prénom, sa date de naissance, son adresse, etc. Notre accompagnateur a peur que nous les remplissions mal, que nous y fassions des erreurs, voilà pourquoi il nous aide. 15 heures 50. Les fiches remplies, nous recevons les clés de nos chambres. J’aide Nathalie à porter sa valise, voilà pourquoi elle prend sa clé et la mienne. Toutes les chambres sont au deuxième étage, ce sont les chambres pour deux personnes. Leurs fenêtres donnent sur la rue. Il y a un lavabo dans la chambre, mais pour prendre une douche, il faut qu’on aille dans le corridor, car les douches et les W.-C. sont « à l’extérieur », comme c’est écrit dans les textes publicitaires. Et pour téléphoner, il faut qu’on sorte dans l’escalier, c’est là que se trouve le téléphone à carte. La chambre, petit déjeuner inclus, coûte 27 Eur par jour. La publicité de l’hôtel nous a promis « une ambiance internationale assez marrante, décontractée ». On va voir si c’est vrai.